L'expérience du jeûne peut transformer, nombreux sont les témoignages qui vont dans ce sens, et cela depuis très longtemps comme l'illustre cet extrait* :
Dans la Grèce antique, Socrate considérait, qu'au contraire des barbares, les individus des nations civilisées ne mangeaient pas en excès. Il faisait régulièrement des jeûnes de dix jours, afin d'améliorer son raisonnement philosophique. Platon, son élève a affirmé qu'il jeûnait pour manifester une plus grande efficacité physique et mentale. Quant à Pythagore, un jeûne de 40 jours lui fut imposé comme condition d'accès à l’École d'Alexandrie ; il se soumis à l'épreuve et la légende lui attribue ces propos : "Ce n'est pas Pythagore qui entre. C'est un homme différent. Je suis né de nouveau. Vous aviez raison et j'avais tord, parce que mon point de vue était totalement intellectuel. Grâce à cette purification, le centre de mon être a changé. Il a quitté ma tête pour mon cœur. Maintenant je peux ressentir les choses. Avant cette épreuve je ne pouvais comprendre qu'intellectuellement, par la tête. Maintenant je peux ressentir. Désormais la vérité n'est plus seulement une idée, mais une vie. Cela ne sera pas une philosophie mais plutôt une expérience existentielle."
Si vous souhaitez (re)découvrir la pratique du jeûne dans un cadre sécurisant et chaleureux, n'hésitez pas à me contacter pour en discuter ; le prochain séjour aura lieu dans le Buëch, en gîte, du 1er au 8 mai (inscriptions jusqu'au 10 avril).
* extrait de mes recherches sur le jeûne et la nature comme alliance thérapeutique
